Lundi 13 juin 1 13 /06 /Juin 03:28

 

 

Hier, comme chaque jour, mon maître a décidé de me punir, jugeant que j'avais été une peste dans la journée. Sachant ce qu'il me restait à faire, je commence devant lui à me dénuder immédiatement, mais mon maître décida cette fois-ci d'être plus violent qu'à son habitude.

 

D'abord, il me dit de me rhabiller, en me précisant qu'il ne voulait pas voir mon corps, que celui-ci ne l'excitait pas. Il me dit que j'étais là pour lui faire du bien, et que c'était là ma seule utilité. Ceci provoqua en moi un plaisir immense : être sa parfaite soumise étant mon objectif premier.

 

Mon maître me fit alors me mettre à genoux devant lui et ouvrit la braguette de son pantalon. J'étais sur le point de prendre son sexe dans ma bouche lorsqu'il me dit en me giflant au visage qu'il ne m'en avait pas donné l'autorisation. Je savais pertinemment que je devais attendre qu'il me donne ses envies avant de me soumettre et d'obéir, mais je n'avais encore une fois pas pu résister à prendre son sexe lorsqu'il m'était apparu. Maître me fit alors me déshabiller, afin que je me balade à quatre pattes autour de lui. Je sentais son regard posé sur mon corps, et me sentis honteuse. Puis, il me dit de lui lécher les pieds : immédiatement, je fis ce qu'il m'ordonna en m'appliquant, pour qu'il soit tolérant et me donne un peu de plaisir en retour...

 

Toujours à ses pieds, j'eus la permission de le sucer. Je commençai par les couilles, sachant que c'était ce qu'il préférait, puis remontai jusqu'à prendre son sexe entier dans ma bouche. Mon maître, pour mon plus grand plaisir, s'agrippa à ma tête et me baisa la bouche. Sentir les va-et-vient de son sexe dur me fit gémir. Quelques minutes après, il ne put plus résister et me dit alors de me retourner pour qu'il me prenne en levrette, à même le sol. Cette animalité me fit mouiller, et mon maître me pénétra d'un coup puissant qui me fit hurler. Il sentit que j'étais toute mouillée, et m'insulta. L'idée que j'étais pour lui une perverse m'envahit de chaleur et de plaisir.

 

Mon maître me prenait puissamment. Les coups étaient de plus en plus violents, et la douleur en moi grandissait. Cependant, son plaisir était pour moi la seule chose qui existait, qui importait. Je cambrais mon dos, hurlais à chaque fessée un peu plus fort, redemandant sans cesse des coups, jusqu'à perdre le contrôle de moi-même. Maître sortit alors de moi, sentant que la violence avec laquelle il m'avait prise m'avait poussée à mes limites. Il jouit sur mes fesses. Je me dis alors qu'il n'avait pas joui dans mon corps car je ne méritais pas sa semence, et ceci provoqua en moi une grande satisfaction : j'étais soumise et humiliée au plus haut point.

 

 

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Par journaldesoumise - Publié dans : Histoire
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